Alors, il y a ce moment
Où l'eau se retire
Aux abords de la peau
Où l'argile
Resserre ses grains
A celui de la peau.
Elle la tend
Vers l'intérieur
Insensible, au dehors
Elle la rend
Intérieure
Chevillée au corps.
Et le doigt ne sait plus
La steppe où il chemine
Les vaisseaux battent
Plus fort
Mais tout est immobile
En surface
Plus intime, étranger
Plus vivant et figé
Dans l'argile de nos traces
Qui se rappelle
A l'autre masque
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